Citation :

› Cette fiche est faite pour les employés de Devotion.
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« azaria, nocò. »
❝ citation, chanson, à vous de voir. ❞
IMAGE © TUMBLR. / CITATION © NOM DE L'AUTEUR.

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« Alors, dites moi depuis combien de temps vous travaillez pour nous? »

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« Qu'est ce qui vous a poussé à choisir Devotion? »

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« Et sinon dans l'enceinte de Devotion, comment vous voit on? Quelqu'un de fort, de drôle, qui a une imagination débordante? Entretenez vous de bonnes relations avec vos collègues? »

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« Bon et bien ca suffira, je ne vois pas ce que je pourrais rajouter, j'ai prit en note tout ce que vous m'avez dit mon cher! Allez filez travailler! »

๑ native de londres, elle l'a quitté - il y a six mois - pour suivre un de ses frères aînés à milan, cela lui en a coûté étant donné qu'elle était amoureuse de sa ville de naissance, mais elle ne se sentait pas de vivre sans son grand frère ๑ coup de chance, elle a réussit à trouver avant son départ un job de stagiaire en photographie à devotion ๑ et comme elle connait six langues (dont l'italien et l'anglais) il n'a pas été bien compliqué de s'intégrer ๑ elle veut devenir photographe depuis toujours mais se contentait de petits boulots à londres, en s'adonnant à sa passion lors de ses heures de vacation ๑ garçon manqué (elle rotte, elle crache et elle jure comme un mec) ๑ pleine de vie ๑ grande gueule (même si on ne le dirait pas vraiment lorsqu'on ne regarde que le physique) ๑ rancunière ๑ énergique ๑ provocatrice ๑ bornée ๑ elle fume comme un pompier, un paquet tous les deux jours ๑ et aime fumer aussi quelques joins pour se détendre (ce qui reste rare) ou en soirée (ce qui est moins exceptionnel... ) ๑ elle faisait du cirque lors de son adolescence en colonies de vacances (elle est l'as du mat chinois et du jonglage, vous imaginez pas) ๑ Elle a deux mains gauches, deux pieds gauches et aussi deux cerveaux gauches ๑ il lui arrive de s'arrêter dans la rue parce qu'elle est tombée nez a nez avec une odeur qu'elle adore ๑ elle joue du ukulélé et joue sans cesse la chanson de sous l'océan ๑ ainsi que du saxophone ๑ elle n'a jamais rongé ces ongles, mais ronge les peaux autours de ces doigts, à s'en faire saigner ๑ elle a cinq frères, elle est la plus jeune de sa famille ๑ elle se donne corps et âme à son poste de stagiaire car elle sait qu'elle est le dernière d'une longue lignée de stagiaire chez liborio ๑ elle se fout de ce que dit Liborio, elle est douée et elle le sait ๑ elle ne mange que sucré, du moins à tout ses repas elle met du sucre dedans, et a la chance extrême de rester fine comme une guêpe (mais son poids serait pourtant le dernier de ses soucis) ๑ oui, elle est dans une boite de mode, mais ses collègues ont fini par se faire à l'idée que les jupes courtes et robes en tout genre ce n'était pas son truc, mais alors pas du tout ๑ bisexuelle ๑ frivole, elle enchaîne les conquêtes d'un soir, n'ayant pas trouvé chaussure à son pied.

Spoiler:

Ses talons claquaient sur les dalles noircies par la pollution mais qui gardaient toujours pour elle un éclat certain. La brunette leva les yeux vers le grand clocher qui resplendissait alors que l’obscurité commençait petit à petit à envelopper Londres de ses bras sombres. Etait-ce la dernière fois qu’elle observait un coucher de soleil dans sa ville ? Elle n’en savait rien. Tout ce dont elle était sûre c’était que le lendemain, à sept heures précises, elle s’envolait pour un pays duquel elle ne connaissait que la langue. Milan. Elle n’arrivait pas non plus à savoir si les fourmillements qui s’exerçaient dans son ventre étaient dus à l’excitation ou à cette déception de s’arracher de l’Angleterre comme un coquillage à son rocher. Et cette métaphore n’est pas dite en l’air, d’une plume légère assez rieuse. Non, Azaria était bel et bien anglaise dans l’âme et elle n’avait jamais envisagé jusqu’à ces quelques mois de quitter ce pays qu’elle chérissait tant. Devait-elle maudire son idiot de frère, Ennio, qui disait vouloir revenir à ses racines italiennes ? Du vent oui, il voulait surtout s’éloigner assez salement de sa famille, Azaria en était certaine même s’il ne voulait pas l’avouer. Mais n’était-ce pas elle, après tout, l’idiote, qui le suivait alors qu’elle n’en avait pas tellement envie ? Il était encore temps de faire demi-tour, de changer d’avis, de bruler ce foutu billet d’avion. Mais elle savait qu’elle ne le ferait pas. Azaria et Ennio avait toujours été très proches, et elle ne pouvait pas s’imaginer vivre sans lui. Et puis… elle avait bien trouvé le boulot dont elle rêvait depuis toute petite. Elle allait enfin pouvoir travailler dans la photographie aux côtés d’un grand érudit du domaine, Liborio Corleone. Alors pourquoi ne s’en réjouissait-elle pas ? Peut être parce que le nom de son futur patron était ridicule, mais aussi parce qu’elle allait devoir faire semblant d’être italienne avec son accent anglais et ses mots italiens qui sortaient de sa bouche aussi facilement que si elle l’avait été. Quelques gouttes commençaient à tomber sur ses épaules nues. Ses cheveux de garçonne finiraient par devenir tout à fait trempés, mais elle s'en fichait éperdument. Elle voulait profiter de ses derniers instants dans Londres et, certes, il était une heure du matin passé mais elle continuait à déambuler comme un spectre dans les rues anglaises. Elle abordait ces enseignes qui avaient bercé son enfance, elle passait aux côtés de ces bars où elle avait entamé une adolescence rythmée, et aux abords des cafés où elle avait mangé croissants et thé avant de filer à son boulot pourri. Et elle avait une petite pointe dans le coeur, elle qui n'était pas du genre sentimentale ni eau de rose. C'était une véritable rupture, aussi stupide que cela puisse paraître. Bientot, elle rebroussait chemin, marchant sur ses pas de nombreuses années.

J'avance petit à petit ma fiche.
Je recherche en plus de ça un lien amoureux, non concret, simplement platonique comme dirait tosca. si ça vous intéresse ma boite mp est ouverte.

merci.
bon dieu, je déteste faire trainer une fiche, je vais essayer de la finir le plus vite possible, mais j'ai tellement de choses à faire.

Bon, j'ai fait court, mais je crois avoir terminé.