Citation :

« wallis, ebner. »
❝ citation, chanson, à vous de voir. ❞
IMAGE © HOBANWASHBURNES. / CITATION © NOM DE L'AUTEUR.

❝ we just want to know a little more about you. ❞
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Nom, Prénom
→ elle se nomme Wallis Vera Ebner. Son prénom lui vient de la célèbre américaine, Wallis Simpson, duchesse de Windsor dont sa mère apprécie l'histoire. Son nom de famille, c'est celui de son père évidemment. Il ne sonne pas très italien, ce qui est tout à fait normal, il est autrichien.
Date et lieu de Naissance
→ elle est née le onze mai 1990 à Vienne, en Autriche.
Âge
→vingt-deux ans
Profession
→ elle a commencé récemment un stage qui pourrait se solder par un emploi au sein de Devotion. Mais étant la fille d'une des rédactrice en chef, tout le monde pense qu'elle a été pistonnée.
Groupe
→ they work relentlessly

❝ details of your incompetence do not interest me. ❞
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Citation :

« Alors, dites moi depuis combien de temps vous travaillez pour nous? »

Citation :

« Qu'est ce qui vous a poussé à choisir Devotion? »

Citation :

« Et sinon dans l'enceinte de Devotion, comment vous voit on? Quelqu'un de fort, de drôle, qui a une imagination débordante? Entretenez vous de bonnes relations avec vos collègues? »

Citation :

« Bon et bien ca suffira, je ne vois pas ce que je pourrais rajouter, j'ai prit en note tout ce que vous m'avez dit mon cher! Allez filez travailler! »

c'est simplement trop top par ici

evelynnapier@tumblr

“WHEN YOU SAW MY PASSION.”

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Le temps dit-on à le pouvoir de guérir les blessures. Je l’espère fortement, je ne peux plus regarder chaque enfant ou plutôt chaque bambin que je croise sans me demander si c’est le mien. Il est des choix que l’on fait dans la vie qui sont parfois des choix qu’on ne se pardonne pas, je ne me pardonne pas mais il faut bien que je continue d’avancer. Voilà plusieurs semaines que je suis rentrée à la maison, papa et maman me regardent avec un air de pitié qui me glace le sang. Ma chambre est devenu mon repère, j’ai pris la boîte à couture de maman, j’ai acheté tout ce dont j’avais besoin pour m’atteler à la seule tâche qui me fait un peu penser à autre chose : créer, coudre. Mon lit est inondé de broderies, broches, serre-tête, bandeaux toutes les créations qui me sont venues en tête. Je trouve certaines d’entre elle très laide, comme moi, d’autres son t magnifiques comme elle. Les parents se doutent bien que la carrière de tennis woman qu’ils me voyaient accomplir depuis tant d’années se perdre dans l’horizon, je ne le ferais pas j’en étais sûre ou presque bien avant « l’accident ».

Maman frappe à la porte, je ne suis pas sortie de ma chambre de la journée. Elle entre malgré le fait que je lui en ais pas donné la permission, elle est comme ça, à la maison en tout cas, ça peut mettre dans des situations délicates parfois, j'en ai déjà fait les frais, il y a un an. Elle a du mal à ouvrir la porte avec le tas de fringues derrière mais fini par ses frayer un chemin dans cette mer de textiles. Elle porte ses bras à mes épaules « Chérie, tu vas bien? » Je me défais de ses mains. « Oui, ça va. » Je mens un peu, elle le sait mais n'en dit rien. « Qu'est-ce que tout ceci? » Elle observe les breloques sur mon lit, ses mains parcourent les tissus, les plumes, les détails, le crochetage, ses yeux me disent qu'elle est impressionnée lorsqu'ils me regardent. Je ne suis me souviens pas d'un tel regard de sa part, jamais. « Des bricoles que j'ai faites. » Un sourire éclaire son visage. « Wallis, c'est magnifique! Depuis quand tu fais ces choses? Tu as beaucoup de talent! » « Depuis le début du lycée, mais vous étiez tous les deux trop occupés à regarder mes aces et mes revers. » Nous ne disons rien, on se regarde, jusqu'à ce que je ne supporte plus le sien et que je reprenne ma couture. « J'ai été acceptée tu sais..., dans une école. » Un cri de joie se fraya un chemin hors de la bouche de ma mère, j'en sursautais. « C'est fantastique!! Où? Quand est-ce que tu commences? » Elle me prit dans ses bras, fier de moi, pour de vrai, elle rayonnait pour ma chance. Je souris finalement avec elle, j'allais réaliser peut être mon rêve, finalement. J'avais longtemps hésité à m'y rendre, mais la réaction de ma mère me donna ma réponse. « C'est à Londres, je pars à la fin de la semaine. »

Et Londres me voilà. Je passais les trois années suivantes dans ses rues à perfectionner mes acquis, à en apprendre de nouveau, pour finalement rentrer à la maison. Un retour au source nécessaire je crois. Heureuse de voir Devotion en faire parti, je n'y serais pas tout ma vie, j'en ai conscience, et dans un sens je l'espère! Car malgré ma passion de l'écriture et de la fouille pour découvrir des petites merveilles, avoir un jour ma propre ligne d'accessoire, sera la plus grande de mes réussites.

Cesira Cataldo a écrit:

CHOUTE A L'EAU CHAUDE DE RETOUR ET CHANSON BRETONNE