❝ we just want to know a little more about you. ❞
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Nom, Prénom
→ Alejandro Timo Rocci
Date et lieu de Naissance
→ Né le deux avril 1987 à Florence
Âge
→ 25 ans
Profession
→ Avocat
Groupe
→ Roma is their home

❝ can you spell 'Gabbana'? I guess not... ❞
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❝ You sold your soul to the devil when you put on your first pair of Jimmy Choos! ❞
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❝ Am I reaching for the stars here? Not really. ❞
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"Alejandro, viens au salon !" Le ton froid et calme habituel de mon père résonnait alors à l'étage. Je soufflais, quittant mon lit pour rejoindre le dit salon. J'ouvris la porte de ma chambre, passais devant un miroir pour voir si j'étais présentable ou non, pour finir par descendre les nombreuses marches qui menaient au rez-de-chaussée. J'entendis des rires, des bruits de verres qui claquent, des voix féminines et masculines. Je connaissais mon père, et il se préparait quelque chose que je n'allais pas du tout aimer. Je pénétrais dans le salon, voyant mes parents debout, et les Matozza assis sur le canapé. Les Matozza étaient des amis de mes parents, aussi riche et important que nous l'étions, il était donc important de garder une bonne entente entre nos deux familles. J'affichais un sourire sur mes lèvres, tendant la main pour les saluer, faisnat un baise-main poli et distingué à la femme. C'est alors qu'une magnifique blonde de mon âge, se leva à son tour du canapé. "Alejandro, voici Julia, tu te souviens d'elle ?" Demanda mon père. Julia. Je ma connaissais depuis longtemps, nous avions d'ailleurs partagé des vacances ensemble étant encore enfant. "Bien entendu, heureux de te revoir." Lançais-je avec un sourire charmeur avant d'embrasser à son tour sa main. Ma mère me tendit une flûte où se trouvait du champagne, et pas du bon marché, le meilleur qui puisse, bien entendu. Je fis mon père faire un clin d'oeil aux Matozza avant de lever son verre. "On fête quoi ?" Demandais-je pour savoir ce qui se tramait encore derrière mon dos. Mon père lança un regard vers Julia, qui restait gênée, dans son coin, avant de me sourire. Comme je l'avais pressenti, cela ne sentait pas bon pour moi du tout. "Ton mariage mon fils !" Tout les verres s'entrechoquèrent, sauf le mien. Je ne pouvais pas le croire, mon père venait de me vendre à la fille des Matozza, comme une simple marchandise, et il fêtait ça comme une affaire qui avait bien marché. Je raclais ma gorge, posant mon verre sur la table. "J'ai un peu mal à la tête, désolé." Soufflais-je sur un ton froid avant de quitter la pièce, et la villa. J'avais dix-sept ans, et j'étais obligé de me marier à une femme que je n'aimais et ne connaissais pas.

Assis sur le canapé, regardant un vieux film en noir et blanc, j'entendis des talons. Une jeune femme apparut dans l'encadrement de la porte, occupée à mettre ses immenses boucles d'oreilles. "Je sors, je ne pense pas dormir ici, si tu vois ce que je veux dire." Je levais les yeux vers elle. Elle était magnifique, portant une robe rouge qui galbait ses formes, chaussée sur des immenses escarpins noirs, ses cheveux blonds ramenés en un chignon sur le sommet de son crâne. Je pris la télécommande, coupant le son de la télévision. "On ne peut plus continuer comme ça Julia." Lançais-je alors qu'un calme de mort s'installa. La jeune femme ne comprit pas. Elle s'approcha de moi, s'installant à mes côtés sur le canapé, croisant ses jambes. "Comment ça ?" Souffla-t-elle en prenant ma main dans la sienne. Immédiatement, par réflexe plus qu'autre chose, je repris ma main. Cela faisait quatre ans que nous étions mari et femme, quatre ans de trop. "On a été obligé de se marier à cause de nos parents, et depuis on enchaîne les conquêtes chacun de notre côté en faisant comme si on avait une vie normale. J'en peux plus, je ne veux plus. Je veux vivre la vie que j'ai choisi, par celle que mon père veut. Je veux une femme que j'aime, des enfants d'elle, mon propre cabinet. J'ai des rêves, des projets, que je ne peux réaliser temps qu'on est ensemble." Un nouveau silence s'installa. Julia se leva d'un bond, faisant quelques pas dans le salon, réfléchissant, évitant tout regard tourné vers moi. Je me raclais la gorge, baissant le regard. "Je peux te donner un enfant." Souffla-t-elle en me regardant. Je me levais, souriant faiblement. Je tenais tellement à elle que je ne voulais pas la voir souffrir. "Julia non, tu dois aussi vivre ta vie, trouver un homme que tu aimeras. Je partirais demain pour Rome." Dis-je d'un ton calme et confiant. J'embrassais Julia sur le front, avant d'éteindre la télévision et de regagner notre chambre. J'avais décidé de changer le cours de ma vie.

Ma foie, tu m'as l'air motivé pour compter parmis nos chers employés ou en tout cas habitants de Rome, nous t'engageons donc.
Bienvenue dans l'enceinte des bureaux Devotion.
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